Easy Summaries of John Nelson Darby on God’s Grace, the Rapture, Dispensations, the true Church etc.
Author: Sosthenes
Once the ruler of the synagogue at Corinth
Then a co-writer of a letter by Paul - just a brother - no longer an official
Now a blogger seeking to serve the Lord by posting some words that the Lord has given His Church.
AND is it so, I shall be like Thy Son,
Is this the grace which He for me has won?
Father of glory! Thought beyond all thought,
In glory to His own blest likeness brought!
AND is it so, we shall be like Thy Son,
By John Nelson Darby (1800-1882)
10.10.10.10
AND is it so, I shall be like Thy Son,
Is this the grace which He for me has won?
Father of glory! Thought beyond all thought,
In glory to His own blest likeness brought!
O Jesus, Lord, who loved me like to Thee?
Fruit of Thy work! With Thee, too, there to see
Thy glory, Lord, while endless ages roll,
Myself the prize and travail of Thy soul.
Yet it must be! Thy love had not its rest
Were Thy redeemed not with Thee fully blest –
That love that gives not as the world, but shares
All it possesses with its loved co-heirs!
Nor I alone; Thy loved ones all, complete,
In glory around Thee with joy shall meet;
All like Thee, for Thy glory like Thee, Lord!
Object supreme of all, by all adored!
And yet it must be so! A perfect state,
To meet Christ’s perfect love – what we await;
The Spirit’s hopes, desires, in us inwrought,
Our present joy – with living blessings fraught.
The heart is satisfied, can ask no more;
All thought of self is now for ever o’er;
Christ, its unmingled Object, fills the heart
In blest adoring love – its endless part.
Father of mercies, in Thy presence bright
All this shall be unfolded in the light;
Thy children, all, with joy Thy counsels know
Fulfilled; patient in hope while here below.
[1872]
Edited version in Hymns for the Little Flock 1962 and 1973 and in Psalms and Hymns and Spiritual Songs 1978 – No 247
Dans ce désert aride
Et sans chemin tracé,
Mon modèle et mon guide,
Mon Sauveur a passé.
Par lui je viens au Père ;
Il est tout mon bonheur ;
Aussi rien sur la terre
N’a d’attrait pour mon cœur.
Dans ce désert aride
Et sans chemin tracé,
Mon modèle et mon guide,
Mon Sauveur a passé.
Par lui je viens au Père ;
Il est tout mon bonheur ;
Aussi rien sur la terre
N’a d’attrait pour mon cœur.
Sur lui ma foi repose.
Puis-je le suivre en vain,
Ou perdre quelque chose,
Quand lui-même est mon gain ?
Si les biens de la vie
Prétendent m’arrêter,
Sa puissance infinie
Me les fait rejeter.
Heureux, l’âme affranchie,
Avançant vers le ciel,
Déjà je m’associe
Au cantique éternel.
Douleurs, fatigue ou peine,
N’ébranlent point ma foi.
L’épreuve est toute pleine
De fruits bénis pour moi.
Dans ce trajet d’une heure
Où je suis engagé,
Si je gémis et pleure,
Suis-je découragé ?
Non, ta grâce parfaite
Est mon constant recours ;
Ton bâton, ta houlette,
Me consolent toujours.
Ô Jésus, pain de vie
Que je goûte ici-bas,
Ta vertu fortifie
Mon âme à chaque pas.
Pour t’être enfin semblable,
Bientôt je te verrai
Dans ta gloire ineffable,
Et je t’adorerai !
God alone is infallible; for “infallible” means one who cannot fail. Truth is not the same as infallibility; truth is the opposite to error, not to fallibility.
Objection: You cannot say that anything is infallible.
Answer: God alone is infallible; for “infallible” means one who cannot fail. Truth is not the same as infallibility; truth is the opposite to error, not to fallibility.
Scripture comes from God; it presents the truth; it is infallible. But there is no need to defend it to the infidel who rejects it. However, There is a difference between infallibility and perfect truth. If I question the infallibility of scripture, I am making a statement about the book. However when I reject perfect truth, I avoid facing what affects my conscience.
In strict logic, only one who is incapable of erring, is infallible in what he says,
Dans l’état de confusion où se trouve l’Eglise, et dans l’oubli même qu’il y en ait une, il est tout naturel qu’on agisse en pareil cas d’après ses convictions individuelles. Mais lorsqu’il s’agit de détruire l’unité de l’Eglise, la question est plus sérieuse. Les Baptistes sont une secte, et c’est assez dire, à mon avis, pour ne pas en être. Si un frère croit devoir être baptisé, je n’ai jamais même cherché à l’en détourner, bien que, s’il a déjà été baptisé, je crois qu’il se trompe dans sa manière de voir. Mais, s’il croit que c’est selon la Parole, il fait très bien, selon moi, de le faire. Seulement qu’il ne rompe pas l’unité du corps.
Lettre de J N Darby sur le Baptême
La lettre suivante écrit en français, tirée du Messager Evangélique (lettre n ° 431), par John Nelson Darby, expose sa position sur le baptême, en particulier le baptême des croyants, pratiqué par les baptistes et d’autres chrétiens évangéliques. En raison de la confusion qui règne autour de cet important sujet, il convient également de publier ma traduction (légèrement modifiée) ici. Voici la version originale.
Montpellier 1851
A Monsieur L. F.
L’état de l’église
Dans l’état de confusion où se trouve l’Eglise, et dans l’oubli même qu’il y en ait une, il est tout naturel qu’on agisse en pareil cas d’après ses convictions individuelles. Mais lorsqu’il s’agit de détruire l’unité de l’Eglise, la question est plus sérieuse. Les Baptistes sont une secte, et c’est assez dire, à mon avis, pour ne pas en être. Si un frère croit devoir être baptisé, je n’ai jamais même cherché à l’en détourner, bien que, s’il a déjà été baptisé, je crois qu’il se trompe dans sa manière de voir. Mais, s’il croit que c’est selon la Parole, il fait très bien, selon moi, de le faire. Seulement qu’il ne rompe pas l’unité du corps.
Les baptistes citent: «Ainsi il nous est convenable d’accompli toute justice.»
Ayant dit cela, je vous donnerai quelques principes généraux sur ce sujet. Les raisonnements des baptistes sont si loin de me convaincre (j’ai lu le traité laissé à Montpellier par M. Devine, qui ne dit rien d’autre que ce que j’avais déjà lu souvent) que je trouve dans ces raisonnements, sans qu’ils s’en doutent, le renversement des principes fondamentaux du christianisme, et une ignorance complète de ce qu’est le baptême chrétien. Ils parlent du baptême de Jean, et de ce que le Seigneur a dit : “Ainsi il nous est convenable d’accompli toute justice” (Matthieu 3:15) Réfléchissez-y. Est-ce que le chrétien accomplit la justice en satisfaisant à ce qu’exigent des ordonnances ? Est-ce là un principe chrétien, ou le renversement du christianisme ? De plus, le baptême de Jean est absolument nul pour les chrétiens; c’était un baptême pour les Juifs seuls, baptême qui supposait l’entrée, par la repentance, dans ces privilèges du royaume, et ne supposait nullement la mort et la résurrection de Christ, mais exactement le contraire. Ce baptême n’avait pas non plus lieu en Son nom, ni en rapport avec les vérités annoncées dans l’Evangile. Par conséquent, ceux qui avaient le baptême de Jean étaient plus tard baptisés au nom du Seigneur, comme s’ils n’eussent encore reçu aucun baptême. (voir Actes 19:4-5). On vient donc m’engager à me faire baptiser comme obéissant à une ordonnance, pour accomplir la justice (principe qui renverse le christianisme dans ses fondements), et d’un baptême qui est l’exclusion de la mort et de la résurrection de Christ (seul vrai sens du baptême chrétien). Or, historiquement, ce baptême appartient d’une telle manière à un système qui précédait le christianisme que l’on baptisait celui qui l’avait reçu aussi bien qu’un Juif ou un païen. La mort et la résurrection de Christ forment la base d’une nouvelle création à laquelle le baptême de Jean ne se rapportait nullement. Lorsque j’entends de pareils arguments, ils ne font donc que me convaincre que ceux qui les emploient (tout en étant très sincères), ne comprennent pas les premiers éléments du sujet qu’ils traitent, et, sans le vouloir ni le savoir, renversent les fondements de la vérité chrétienne.
Mais il y a encore d’autres points qui me font rejeter le système baptiste : c’est que je nie leur principe d’obéissance à une ordonnance et en particulier à l’ordonnance (disent-ils) du baptême. Le baptême est un privilège accordé et l’acte est celui de là personne qui baptise, non de celle qui est baptisée. Je nie qu’il y ait une telle pensée dans la Parole que l’obéissance au baptême, ou qu’il y ait un commandement adressé aux hommes, d’accomplir l’acte de se faire baptiser.
Le Baptême est envisagé comme un Privilège
Premièrement, je nie que l’idée d’obéissance à une ordonnance appartienne au système chrétien. Je reconnais que Christ a établi le baptême et la Cène; mais l’obéissance à des ordonnances est ce qui a été détruit, comme principe, à la croix. (voir Col.2:14; Eph2:15). Lorsqu’il s’agit de la Cène, “faites ceci en mémoire de moi” est une direction à l’égard du but du symbole. Toutes les fois qu’on en mangerait, on devait le faire dans ce but. Ce n’est pas un commandement pour le faire, mais une direction pour le faire avec intelligence lorsqu’on le ferait.
Pour le baptême en particulier, le commandement donné est d’aller baptiser, c’est-à-dire que cet acte était l’acte des apôtres en recevant les Gentils dans l’Eglise. Et ceci est si vrai que les apôtres n’ont pas pu être baptisés, mais ont fait baptiser ceux qui recevaient leur doctrine.
En examinant les cas présentés, je trouve que le baptême est envisagé comme un privilège accordé à quelqu’un que l’on admet dans la maison de Dieu, et n’est jamais un acte d’obéissance, ni de témoignage. “Quelqu’un pourrait-il refuser l’eau”, dit l’apôtre “pour que ceux-ci ne soient pas baptisés, eux qui ont reçu l’Esprit saint comme nous-mêmes ?“(Actes 10:47) “Qu’est-ce qui m’empêche d’être baptisé ?” (Actes 8:36) dit l’eunuque. Evidemment, dans ce cas, il ne s’agit pas d’obéissance, mais d’un privilège accordé, d’une admission aux privilèges dont d’autres jouissaient. Je ferai remarquer en passant que, bien qu’il soit clair qu’un adulte, païen ou juif, a dû croire pour être baptisé, les mots : “si tu crois de tout ton cœur, cela est permis” (Actes 8:37) sont rejetés, comme étrangers à la Parole par toutes les personnes qui se sont occupées de l’authenticité du texte. Les apôtres ont reçu l’ordre du Seigneur pour baptiser.
J’ajoute que l’idée des baptistes que le baptême est le signe de ce que nous sommes est aussi contraire à la Parole, car il est dit : “Vous êtes ensevelis avec Lui dans le baptême, dans lequel aussi vous avez été ressuscités.” (Colossiens 2:12). Cela n’est donc pas basé sur la supposition que nous sommes déjà morts et ressuscité. Au contraire : en figure nous mourons et nous ressuscitons dans le baptême même, c’est-à-dire qu’il signifie que nous ne l’étions pas auparavant. C’est le signe de la chose par laquelle nous entrons, et non pas le signe de notre état à nous.
Je rejette entièrement tout le système baptiste, parce que je reçois les enseignements de la parole de Dieu. Je suis parfaitement convaincu qu’il est faux dans toutes ses parties. Il y a un ordre de baptiser donné aux apôtres, mais le baptême n’est pas le sujet d’un commandement particulier pour celui qui est baptisé. La différence est du tout au tout dans le caractère de l’acte. Si je donne l’ordre à mon agent d’affaires de remettre cent francs à telle personne, ou si je confère une lettre de bourgeoisie à quelqu’un, c’est tout autre chose qu’obéissance de la part de celui qui les reçoit.
Le baptême est la réception d’une personne au milieu de l’Assemblée chrétienne
Cependant rejeter ce qui et faux n’est pas tout ce qu’on a à faire. Il s’agit de connaître la vérité pour pouvoir glorifier Dieu; mais la question est devenue beaucoup plus simple. Le baptême est la réception d’une personne au milieu de l’Assemblée chrétienne ici-bas, dans ce monde. Je ne crois pas que celui qui lit le Nouveau Testament sans prévention pourrait le nier. Qui donc alors doit être reçu dans cette Assemblée, le baptême étant reconnu être le moyen de les recevoir (car je suis d’accord sur ce point avec les baptistes)? J’accepte bien que, à l’égard des hommes faits, païens ou Juifs, en un mot à l’égard de ceux qui n’ont jamais été reçus (car ce serait aussi le cas d’un quaker ou de l’enfant d’un baptiste) ce sont ceux qui croient qui doivent être baptisés, car on ne peut recevoir un adulte (qui doit agir selon sa responsabilité à lui) que sur sa propre responsabilité. C’est tout simple, à moins qu’on ne le pousse à la rivière, l’épée dans les reins, comme fit Charlemagne à l’égard des Saxons.
Mais la question qui reste est celle-ci ! Est-ce que les enfants de parents chrétiens doivent être reçus au sein de l’Assemblée ?
Il faut ici que je dise un mot à l’égard de l’Assemblée même, parce que je crois que ce qui fait naître les difficultés, c’est l’ignorance de ce qu’est l’Assemblée de Dieu sur la terre. Je dis l’Assemblée et non les assemblées. Les baptisés devenaient, par le baptême, membres de l’Assemblée chrétienne sur la terre, non d’une assemblée. Or cette Assemblée est la maison de Dieu où demeure le Saint Esprit. Le monde est le désert où règne Satan. L’Assemblée est “l’habitation de Dieu par l’Esprit” (Éphésiens 2:22) . Dans cette Assemblée on est admis par le baptême, et il est si vrai qu’elle est l’habitation de l’Esprit que le chap.VI des Hébreux suppose que l’on peut être rendu participant du Saint Esprit sans être converti. Dans ce cas, celui qui avait l’Esprit ainsi, n’était pas réellement du corps de Christ, mais il possédait le Saint Esprit dans le sens d’un don, étant dans la maison où l’Esprit demeurait et agissait. Ainsi Ananias et Sapphira ont menti au Saint Esprit. Dans ce cas-ci, c’était de la présence qu’il s’agissait, non d’un don, mais la chose est la même pour le point qui nous occupe. Or il s’agit de savoir si les enfants des chrétiens peuvent être reçus dans cette maison, ou si l’on devait les laisser dans le monde où règne Satan. Il ne s’agit pas de commandement; je nie tout commandement pour une ordonnance et en particulier pour le baptême. Il n’y en a pas pour un adulte. Il s’agit de savoir quelle est la volonté de Dieu à l’égard de ce privilège. Or il est clair pour moi, d’après la Parole, que les enfants doivent être reçus. Il est de toute évidence que ç’aurait été un changement introduit dans le système de Dieu, de ne pas les recevoir, changement qui, du reste, n’a pas été signalé. Or voici quelques passages qui me font voir, d’une manière positive, les pensées de Dieu à cet égard. Avant de les citer je pose comme un principe reconnu, car je le crois scripturaire, que le baptême est le moyen voulu du Seigneur pour recevoir extérieurement dans l’assemblée de Dieu et que sa signification est la mort et la résurrection de Christ. Mais ici, je dois en passant, faire encore remarquer que les vues de plusieurs sur ce point sont décidément antiscripturaires. Ils supposent que les ordonnances et en particulier le baptême sont le signe de l’état où se trouve celui qui y participe. Or cette idée est opposée au témoignage de la Parole. Le baptisé participe figurément à l’acte de l’ordonnance qui n’est nullement un signe qu’il y participait avant. Ainsi, le baptême n’est pas le signe qu’un homme participe à la mort et à la résurrection de Christ. Le baptême est (en figure), la participation à ces choses par cet acte même. Le témoignage de (Colossiens 2:12) est positif à cet égard : “Vous êtes ensevelis avec lui par le baptême dans lequel vous êtes ressuscités avec lui. C’est dans l’acte que la participation a eu lieu; il n’est pas le signe d’une participation qui le précède. Il en est de même à l’égard de la Cène, on y mange (en figure) le corps rompu; on y boit le sang répandu. Ce n’est pas une figure qu’on l’a déjà fait. Ce même principe se trouve en Rom.VI, 4; d’autres passages le confirment.
Baptême et Petits Enfants
Ayant mis ce principe au clair, et ayant montré que l’idée baptiste n’est pas fondée, que la Parole contredit leur idée que le baptême est le signe qu’on est déjà mort et ressuscité, tandis que la Parole enseigne que nous y mourons et ressuscitons (en figure); ayant, dis-je, tiré tout cela au clair, j’en viens aux passages qui m’autorisent à croire que les enfants des chrétiens sont les objets de cette faveur, le baptême étant le moyen de les en faire jouir.
Le chap. 18 de Matthieu est un passage frappant, montrant de quelle manière Dieu envisage les enfants. Le Seigneur a pris un petit enfant (v.2), non une personne convertie (il distingue même (v.6) un enfant qui croit, des autres) et il déclare qu’il faut devenir tel; que leurs anges voient continuellement la face de son Père qui est dans les cieux (v.10), c’est-à-dire qu’ils sont les objets de Sa faveur spéciale. Mais le témoignage est quelque chose de beaucoup plus précis que cela : Ils sont perdus; Christ est venu, est-il dit (v.11), “pour sauver ce qui était perdu“, car “ce n’est pas la volonté de votre Père qui est dans les cieux, qu’un seul de ces petits périsse.” (v.14). En recevant un petit enfant en son nom, je reçois Christ, et je reconnais que, tout en étant enfants, ce petit être est perdu; mais qu’il est l’objet de l’amour du Père que je connais, et qu’il n’y a pas d’autre moyen de salut, même pour un enfant, que la mort et la résurrection de Christ; et je l’introduis dans la maison par ce moyen. Le témoignage est donc plus fort, que nous sommes nés enfants de colère.
J’ai déjà montré que le baptême n’est pas un témoignage rendu à l’état de l’individu, mais l’admission de l’individu est un témoignage à la valeur de l’œuvre de Christ. Le baptiste, je le sais me dira : “Mais vous admettez un petit païen ?” La Parole me dit tout le contraire. Elle dit que si l’un des parents est chrétien, les enfants sont saints; or ils ne sont pas saints de nature; c’est une sainteté relative, c’est-à-dire un droit d’entrée dans la maison. C’est le sens de ce mot dans la Bible. Ils ne sont pas souillés, profanes. Un Juif qui épousait une femme des nations était profané, et les enfants profanes, et la femme devait être renvoyée avec eux. Mais le christianisme est un système de grâce, et la femme, au lieu de rendre son mari profane, est sanctifiée, et les enfants sont saints. Et ceci est la force propre et la portée évidente du passage, car il s’agit de savoir si un croyant devait renvoyer sa femme non convertie. Ainsi les enfants, étant saints, ont droit d’entrer dans la maison, et c’est l’avantage réel dont ils jouissent.
Parler d’enfants légitimes est un non-sens, car ce ne sont que les lois modernes qui ont fait faire cette distinction en pareil cas.
On me demandera [peut-être] pourquoi [alors], ne pas donner la Cène aux enfants ? Je réponds: parce que la lumière de la Parole m’en empêche. La Cène, envisagée sous ce point de vue, est la figure de l’unité du corps. Nous sommes tous un seul corps, en tant que nous participons tous à ce seul pain. Or c’est par un seul Esprit que nous sommes tous baptisés pour être un seul corps, c’est-à-dire qu’il faut être baptisé du Saint Esprit pour prendre la Cène.
“Enfants, obéissez à vos parents”, ne saurait se dire si les enfants n’étaient pas dedans. On n’adresse pas des préceptes à des païens. Je vois donc que Christ, qui a reçu les enfant, veut que nous les recevions en Son nom, et qu’en le faisant nous le recevions, Lui. Remarquez qu’en Matthieu 18 , le Seigneur applique la parabole de la brebis perdue aux petits enfants (c’était, à la lettre, un petit enfant qui était là). Je repousse entièrement toute consécration à Dieu en dehors du baptême. Non seulement cette pratique baptiste est une convention humaine, mais (sans le vouloir, j’en conviens), c’est prétendre pouvoir présenter les enfants à Dieu sans la mort et la résurrection de Christ. Si l’on peut les présenter à Dieu par la mort et la résurrection de Christ, ils sont les sujets du baptême : le faire autrement c’est nier le christianisme; ne pas les consacrer, c’est impossible pour un chrétien. Selon moi, le baptiste prive son enfant de la protection de la maison de Dieu et des soins de l’Esprit et le laisse dans le monde où Satan règne, au lieu (quoiqu’il soit heureusement inconséquent) de l’élever dans la discipline du Seigneur…
Résumé
Enfin je nie entièrement qu’il y ait un commandement d’être baptisé, comme affaire d’obéissance. Je dis que le principe est faux et que le baptême est toujours présenté dans la Parole d’une manière entièrement opposée à cette idée qui fait le fondement du système baptiste; qu’il s’agit d’une réception dans l’église, de la jouissance du privilège de l’introduction dans la maison où est l’Esprit, que citer le baptême de Jean-Baptiste, c’est l’ignorance des premiers principes du christianisme et de la nature même du baptême chrétien, et que le baptême, envisagé d’après la Parole comme étant une réception par l’Eglise, appartient aux enfants des chrétiens, selon la faveur de Dieu, et parce qu’ils sont saints. C’est le contraire de la profanation d’un juif qui avait épousé une étrangère. Les enfants sont saints comme dans le cas d’un Juif ils étaient profanes. Je répète ceci, parce qu’on cherche à employer ce mot pour affaiblir cette preuve scripturaire, tandis qu’il ne fait que rendre plus claires la vérité et la portée des passages.
Voilà un aperçu de ce qui, j’en suis parfaitement convaincu, est la véritable idée selon la Parole. Cette Parole ne laisse absolument rien du système baptiste. Cependant si quelqu’un, individuellement, pense qu’il n’a pas été baptisé, je ne le blâme pas s’il se fait baptiser, au contraire, je respecte sa conscience comme la conscience de celui qui croit devoir ne manger que des herbes. Mais si, de ce manque de lumière on fait une secte, je le condamne totalement. Or il est de toute évidence que le système baptiste est pure ignorance. Il est vraiment impossible qu’un homme puisse parler d’accomplir la justice en se faisant baptiser d’après l’exemple de Jésus avec Jean-Baptiste, s’il possède la moindre lumière sur les voies de Dieu en Christ. Il peut être sincère, mais son ignorance est très grande à l’égard de la vérité de l’Evangile.
14 names instead of 18, and in saying that there were only fourteen generations.Matthew has omitted three kings, but this does not prove he made a mistake in doing so. The point he is showing is Christ’s legal connection with the throne of David. The term “begat” is employed in Hebrew for a descendant. Matthew left out three kings, the children of an apostate woman, recommencing with him in whose reign the prophecies of Messiah dawned brightly on Israel, and he has counted his genealogies correctly.Inconsistency in names e.g. Ahaziah and UzziahLittle problem when looking at the Hebrew and its transliteration into Greek.Was Jesus the biological son of Joseph?The legal descent is evident. Matthew does not for a moment leave a cloud on the fact that Jesus was not Joseph’s son. He says, “The husband of Mary, of whom was born Jesus, who is called Christ.” He is not giving the natural descent, and Christ’s miraculous birth follows. Different genealogy in Luke
Luke gives that of Mary. If Mary had no brother and was the daughter of Eli, the Lord was descended from Eli; and Joseph would be called τοῦ Ηλὶ (tou Eli) as heir and representative of Eli.
This event is not recorded by Jewish historian, Josephus.It is hardly likely that a Jewish infidel historian should have recorded a particular act of local cruelty, which would have been the strongest testimony possible that Jesus was the Messiah. Indeed the omission of one local cruelty in a village is nothing extraordinary. The killing a few children was nothing to the hard-heartedness of Josephus and Herod, if there was no particular reason. If there was, it was the last thing Josephus would mention.
Different names in different listsSome had two names, very common among the Jews. Levi had also the name of Matthew, as Saul had that of Paul, Simon that of Peter. Thaddaeus, Lebbaeus and Judas (not Iscariot) would appear to be the same person.
The sentence of the serpent is just a fableGoing on its belly and eating dust (Gen 3:15) shows the complete humiliation of the serpent. In its fullest extent it is a symbol of death. The whole thing is scorned but it gives the source, explanation and judgment of what has characterised the human race, everywhere and at all time.Man has worshipped the serpent, perhaps more than anything else, with the possible exception of the Sun in Greece and Rome. Ophiolatry, or serpent worship, is found in China, Egypt, Babylon, England (Stonehenge), Ireland, France, North and South America, Russia, Scandinavia, India and Africa. People kept serpents as household gods, wore ornaments as talismans, and tattooed images of the serpent and the sun on their skin. It is often portrayed erect, being fed with sweet cakes, with a naked woman as priestess in attendance. The Hivites who were driven out of Palestine by Joshua were serpent worshippers. Scripture presents that old serpent as the one who elevated himself as god of all the world. Yet the serpent is a venomous prostrate reptile. So when we see the whole world of these traditions of the serpent, of the worship of the serpent (erect), a sober mind must deduce the immense moral importance of this phenomenon, as exposing, the terrible and real secret of it all – the ruined condition of rebellious and disobedient man. Scripture has not invented these facts.Also, the notion of gaining wisdom from serpents is universal. Satan seized upon the idea of God in men’s minds, and, where possible has connected man’s obscure traditions with himself. The sun is seen as the benefactor; the serpent the one giving intelligence, and both became associated with the idea of the unity of deity and the universe. Moreover, in Egypt above the serpent-worshipping temple of Isis there were the words ‘I am all that hath been, and is, and shall be; and my veil no mortal hath ever removed’. All wisdom was purported to be there.Sometimes the worship of the sun drove out serpent worship, yet it was always remained connected with it. Apollo (the sun), established his worship at Delphi by slaying Typhon, an immense serpent, who was also said to have been cast down from heaven by Jupiter. He then gave oracles in his place, Delphi. Scandinavian mythology is similar, the great serpent being Loke. Hercules, Thor and Krishna kill serpents. (or dragons). It would appear that idolatry came in after the flood. There is a vague tradition of a reign of bliss under Saturn, his three sons, Jupiter, Neptune, and Pluto, becoming the supreme gods of heaven, earth, and sea. In some way these correspond to Shem, Ham and Japeth. They carried a statue about in a kind of ship. Indeed they used the same word for ‘temple’ and ‘ship’. There is the pain of childbirth, a pain borne by the woman, the man being exempt. But faith can lay hold of the real meaning of the statement that the woman’s seed will crush the head of the serpent.
Objection: the longevity of the patriarchs is unrealistic.Answer: It is a question of the sovereign power of God, it is absurd to argue otherwise. Men can live 969 years like Methuselah, or 500, or 200 or 70. But the reduction coincides with idolatry and the worship of man.
Objection: You cannot say that anything is infallible.Answer: God alone is infallible; for “infallible” means one who cannot fail. Truth is not the same as infallibility; truth is the opposite to error, not to fallibility.
Scripture comes from God; it presents the truth; it is infallible. But there is no need to defend it to the infidel who rejects it. However, There is a difference between infallibility and perfect truth. If I question the infallibility of scripture, I am making a statement about the book. However when I reject perfect truth, I avoid facing what affects my conscience.
In strict logic, only one who is incapable of erring, is infallible in what he says,
Although JND used the word ‘science’, this objection surrounds more the anthropological background to beliefs worldwide.
It is not related to technological developments about which JND could not have known. These are however irrelevant to this discussion. I do not believe anything of the bible has been disproved by the discoveries of the past 150 years.
Objection – The biblical account is inconsistent with modern knowledge.
Answer. There is no inconsistency. As regards man, the science of physiology can only examine man as he is — in a state of mortality. This is not, according to scripture how God created him. To suppose that God could not have sustained man in an immortal condition, is to put limitations on God, who cannot be limited. We are taught that following the fall, man became a dying creature, subject to ‘wear and tear’.
If we look into ancient texts we find various references consistent with the account in Genesis. For example Plato wrote, ‘They lived naked in a state of happiness, and had an abundance of fruits, which were produced without the labour of agriculture, and men and beasts could then converse together. But these things we must pass over, until there appear some one to interpret them to us.’ [I cannot locate Source – maybe the Republic]. Fragments of truth, amidst the mass of superstition, exist in Egyptian, Greek, Mexican and Hindu fables. However, none of the written accounts are older than about 700BC [National Geographic refers to Mycenaean writing around 1450BC, the time of the exodus, but that makes no difference].
The millions of years of Hindu chronology, or the more moderate thousands of Chinese dynasties, have disappeared before increased information. Indeed, we have some Chinese dynasties and some dark Hindu traditions, which tend to confirm the early Mosaic accounts.
God, however, has given us a concise, simple account of immense moral import, infinitely elevated above the whole range of the heathen fables which pervert its elements, placing the supreme God — man — good — evil — responsibility — grace — law — promise — the creatures — marriage, all in their place. The Mosaic account brings out the innocence at creation, the knowledge of good and evil, conscience, judgment, the closing of the way to the tree of life, and the promise in the woman’s seed.
In so many fables there is the conflict between good and evil, with good prevailing. However in scripture, the drama was a reality; all involving one man and his failing companion. Yet from her who failed recovery was to spring; grace was to be brought out and magnified.
Another thing is evident, that Mesopotamia, and the country north of it, is the area from which the world was peopled. Assyria, Babylon, and Egypt, Persia, Greece, Rome, all are grouped round it. Indeed the Phoenicians even went to Ireland. [Skeptics might argue nowadays that early man came from Africa, but this is not the subject here].
No creature can subsist per se, that is, independently of God.
Objection: The prophetess Deborah, in an inspired psalm, pronounces Jael to be blessed above women, and glorifies her act by an elaborate description of its atrocities.Answer: Scripture is inspired by God. God gives His mind on any particular subject to anyone spiritually capable of understanding it.However, just because scripture provides a record of peoples’ words, that does not mean that what they said was inspired. We have Satan’s words, wicked men’s words, and human accounts of various facts, recorded by inspiration, but not themselves inspired. Scripture gives us a picture of what man, and particularly Israel, is. It does it, not just by dogmatic statements, but by giving us a historical development of what man has does and felt in various circumstances. If the Bible had merely given us God’s judgment, we never should have had the testimony to our consciences that we have. Scripture affords us man’s actual history under the various dispensations of God. We get an inspired testimony of what God’s mind is, adapted in grace to our consciences. A gracious father speaks to his child according to what suits the child, yet always in a way worthy of himself. That is how God has dealt with Israel and all men. How else could He have done so?In the Old Testament we have a perfect, divinely-given picture of man, in various relationships with a gracious God. His whole condition is brought out, so that by a divinely given history, we might know ourselves, and at the same time appreciate the whole course of God’s dealings with man. Ultimately, in perfection God Himself is manifested in Christ in supreme grace. Man and God get into a relationship according to the security of His nature, and the perfectness of His love. When we were yet without strength, in due time Christ died for the ungodly. (Rom. 5:6).We should not have the knowledge either of man or God, and His wondrous, perfect and patient ways, if we had not seen men presented at exactly as they were. A statement of morality by God would, no doubt, have shown what man ought to be. We have that in the law. But that would not have shown us what man is.
People who were used to communicate things, such as Deborah, were pious and animated in their hearts by God’s Spirit. In their dispensations, they were just not as instructed, as we have been in ours.
Deborah’s song is not a communication of God’s thoughts, but of Deborah’s feelings. Doubtless, her heart was moved by the Spirit in thankfulness for the deliverance of God’s beloved people, but there is no sign of its being a communication from God to His people. It was consistent with the light she possessed, and coloured by the general condition of the people. Like Hannah, she appreciates God Himself known in mercy to His people. The song does not rise above the measure of Israel’s blessing. Things were to be extended under David, Solomon and the prophets.
The Old Testament is a spiritual instruction for us, so that we can know God, and His perfect ways, more fully. I may know some scientific facts, and rely on these but I have the perfection of Christ to judge by. To use the Word rightly depends on my spiritual progress and moral state. This is exactly as it ought to be.
We are tempted to judge things from the standpoint of a clearer revelation. I may pass a moral judgment on many things in the Old Testament, because God has given me the true light, and the darkness is now passed. He who is light, has given me the light to judge these things. Christ has given the perfect key by which to judge of it all
Objection: Abraham’s preparedness to sacrifice Isaac makes him no different from idolaters of the worst kind – practicing human sacrifice.Answer: Abraham’s sacrificial act is not presented as a rule of morality nor of conduct in any way, but as a special case in which Abraham’s faith was put to the test. There is no kind of analogy with “those who sacrificed their children to Moloch.”* Jer. 32:35. In their horrid barbarity, they sought to assuage their consciences to placate their vengeful god.In Abraham’s case it was different. God had placed the promises in Isaac. Abraham was now tested, to show that he had such confidence in God, that he would give up all the promises as possessed and obey God implicitly, whatever the cost. When this was proved, God would not suffer Isaac to be touched.According to Hebrews 11 Abraham believed that God would somehow raise up Isaac again, in order to accomplish His promises.
Objection: Where did the waters of the flood come from?Answer: It is argued that the water in the deluge came from the clouds, and perhaps from the sea. These are, of course, the same – one cycle. Scripture uses language that is unique to this event – “all the fountains of the great deep were broken up, and the windows of heaven were opened”. (Gen 7:11) The passage speaks neither of clouds nor sea. It speaks of the fountains of the great deep being broken up, and the windows of heaven opened. It is never said the water drained back into the sea, but that “the waters returned from off the earth continually.” (Gen 8:3) . It also ways that the fountains of the deep and the windows of heaven were stopped, and the rain from heaven was restrained. Call that a “miracle” or what you will; certainly some very overwhelming outbreak of waters came from an extraordinary source.According to the narrative of creation in Genesis 1, what had already been created was one vast mass of waters, called “the deep.” It says, “And darkness was upon the face of the deep. And the Spirit of God moved upon the face of the waters. (Gen 1:2) The unknown mass of waters which engulfed the earth is not stated, or the what the waters were that were above the firmament or expanse. The waters of the deluge must have come from either above or below the earth, not from on it.The ark was big enough. A vessel of more than 42,000 tons, being 450 feet long, 75 broad, and 45 high (135x23x14m) could easily have received the animals that did not live in water.Note by SosthenesAt JND’s time there were many things he could not have known.
It is now known that many comets and their tails are made of ice. If the earth had gone through the tail of a gigantic comet then there would have been an enormous amount of water around for a limited period of time.
It is also known that many planets and exoplanets, including the earth have an enormous amount of water in tier crusts. These were ‘broken up’, so the water could have been released on to the earth. However how the water disappeared would remain a mystery. But nothing is impossible to God.
It has also been calculated that there were 35000 species on the earth at that time. The ark has been estimated to be just sufficiently large to accommodate 70,000 animals and provisions for them.
At that time when the largest boats were sailing men-of-war, the idea of a boat that size was not conceived. Now in the days of supertankers the ark is a modest construction.
I am therefore seeking, with God’s help to produce some simplified summaries of helpful articles, papers and ministry, presented in a way that is more intelligible to Christians in the 21st century, and accessible using current technology, and above all free of sectarianism, the ministry being for the whole Church of God. I seek humbly to keep to the essential message, and cover it adequately without introducing my own ideas and thoughts. The site is in its early stages www.adayofsmallthings.com. Please have a look at it.
Dear brother or sister in the Lord
Having retired I have been seeking direction from God as to how to use my time, abilities and resources to His glory, whilst recognising limitations, both physical and above all spiritual.
As some may know I have done some translation work on JND’s letters, so his ministry has been opened up to me more freshly. For many years I had regarded it as beyond me in many ways, and I would still say that it is as Peter said of Paul ‘hard to be understood’.
If that is true of me, what of my fellow believers, most of whom have not enjoyed the privileges I have had of being under teaching, and able to participate in reading meetings where this ministry, and that of others, were valued and generally felt to be of the Spirit of God.
I am therefore seeking, with God’s help to produce some simplified summaries of helpful articles, papers and ministry, presented in a way that is more intelligible to Christians in the 21st century, and accessible using current technology, and above all free of sectarianism, the ministry being for the whole Church of God. I seek humbly to keep to the essential message, and cover it adequately without introducing my own ideas and thoughts. The site is in its early stages www.adayofsmallthings.com. Please have a look at it.
In order not to draw attention to myself, I am using a pseudonym, Sosthenes (he just wanted to be a brother). Sosthenes Hoadelphos on Facebook; @BroSosthenes on Twitter.
The ministry itself, of course, is not infallible: and my simplified summaries are certainly not. Without getting into arguments I would value the comments as to content or style by any who feel I have not explained things well, or have missed the point. Let the righteous smite me; it shall be a kindness Psalm 141:5.
I look forward to your comments, either by e-mail (Sosthenes@adoss.co.uk) or by making comments on the site.
God presents what He is to men, so we know that He is holy, righteous and love. He is love, and love draws me. Love is the divine nature.
I need to be separate from evil: “Without holiness no man shall see the Lord.” (Heb 12:14). It is not said, ‘He is holiness’. Indeed I as a sinner would be repelled by mere holiness. He is holy. He is just, and He is of purer eyes than to behold iniquity. (Hab 1:13) He may be the God of judgment, but He blesses His own so that they might be eternally happy in holiness, for He is holy love.
A summary by Sosthenes
God presents what He is to men, so we know that He is holy, righteous and love. He is love, and love draws me. Love is the divine nature.
I need to be separate from evil: “Without holiness no man shall see the Lord.” (Heb 12:14). It is not said, ‘He is holiness’. Indeed I as a sinner would be repelled by mere holiness. He is holy. He is just, and He is of purer eyes than to behold iniquity. (Hab 1:13) He may be the God of judgment, but He blesses His own so that they might be eternally happy in holiness, for He is holy love.
Whatever our state may be, God is perfect in His love, and He would make us learn, enjoy and walk in it now, not when we get to heaven.
Our selfish, unbelieving nature hinders us down here, but this only serves to magnify God’s grace and love. In spite of all, He brings us to the knowledge of perfect love because “Perfect love casteth out fear, for fear hath torment” (v.18). If, when thinking of God, we fear, we have torment. That is the conscience. Man may seek to bury his conscience, but only succeeds in hardening it.
If we seek peace in ordinances, it is not love but fear. The effect of true ministry is to put the soul in direct contact with God. False ministry brings in something between the soul and God.
The soul must have the blessed consciousness of perfect peace with God. God brings you into the joy of His perfect love in His presence; “Who shall separate us? … More than conquerors.” (Rom. 8:35)
The family character of the children of God is light and love. It is God’s nature, and seen in both in Christ and in all God’s children. I must have the new nature to know this; but how do I get it? Where is it found? In Jesus Christ Himself, image of the invisible God. (Col 1:15). In Christ I find a perfect manifestation of His love. “Herein is love, not that we loved God, but that he loved us” (v10).
There is no mention of anything required of us, but the simple fact of what we were “dead in trespasses and sins.” (Eph. 2:1)
Though He is a God of judgment, He brought out the means of our approach: through Christ’s sacrifice. Abel’s faith testified how man was to approach to God, so from Abel downwards God showed mercy.
Man as man refuses to come to God “none righteous.” (Rom. 3:10) When Christ comes, it is another thing altogether. God now approaches man in grace; not man approaching God. He visited men in their sins, “that they might live through him.” (v.9) All around was darkness, degradation, and idolatry. God took them out of that condition that they might live through Christ. “God has given to us eternal life, and this life is in his Son.” (1 John 5:10). Thus we are brought into His presence.
We live through His only-begotten Son. He is bringing us into His presence, before the One in whom all His delight was from eternity. It is the eternal enjoyment of it to know eternal life in the Son; but down here we often question it, because we do not see this love in us. He is “a propitiation for our sins.” (1 John 2:2)
God has loved me not only when I wanted it, but because His knew what I wanted. He has not mistaken my case; Christ on the cross made the propitiation for my sins. So I can say, “Herein is love.” (v.10) I have found God, and my soul rests there. The cloud has been taken away for ever. If you say, ‘I have committed such and such a sin’; I answer, ‘It is for the sins you had or still have that Christ died; for He died for your sins.’
He cannot bear sin, and therefore He must put the sinner in his sins away, because He cannot bear the sins. I learn to judge sin according to God, because I am brought into the light. I find many sins in myself. He is the propitiation for my sins. I believe this, and then I enter into communion with Him. Why do I find fear and torment when I find sin in myself? Can I not trust that love? Have I not believed the love God has towards me?
God does not expect fruit from man, but His grace produces fruit. We should feel sin, and know it has been blotted out. We are told that “The glory thou hast given me I have given them, that the world may know that thou hast loved them as thou hast loved me.” (John 17:24) “There is no fear in love.” (v.18). It is a matter of communion and we live through Him. “… Perfect love casteth out fear.”
I am not honouring God, if I do not trust the work of Christ in love on the cross. I come to Him just as I am, and then I know God. He enables me to trust in blood of Jesus Christ His Son – the perfectness of His work in putting away sin.