janvier 1880
A M. P.
Mon cher frère,
…Notre affaire, c’est de suivre Christ, et de n’être rien. Nos deux frères collaborateurs visitent ici les réunions environnantes tous les dimanches, et même les jours sur semaine.
J’ai l’idée, après avoir achevé une certaine partie de notre travail, de me rendre en Angleterre. Ils sont en paix là, mais ils ont besoin d’être nourris et cimenté. M. X. y est très utile et encouragé ; des âmes sont ajoutées à Londres. Certaines personnes aimeraient à souffler le feu, mais il me semble que leur soufflet est gâté. Je trouve que ma force est de rester tranquille.
Votre affectionné frère.